Fruits Basket, tome 16 de Natsuki Takaya

Fruits Basket, tome 16

Auteur: Natsuki Takaya 

Edition: Delcourt

Publié en: 2006

Genre: Manga, Shôjo

Tome: 23 Tomes

Depuis la fin de la fête de l'école, Thoru et tous ses amis passent des jours bien calmes. Trop calmes, peut-être? Kyô va commencer à sombrer peu à peu dans ses souvenirs, allant jusqu'à se remémorer sa rencontre avec Kyoko. Quel est cet étrange poids qui reste sur sa conscience?!

Un tome que j’ai adoré et qui nous offre une belle parenthèse, même si nous ne quittons pas totalement nos amis. Le tome tourne essentiellement autour d’un souvenir de Kyô qui va mettre en avant sa rencontre avec Kyoko, qui est la mère de Tohru. Nous avons une partie de son passé, celui où elle rencontre le père de Tohru. Nous savons comment elle passe de la fille révoltée à une mère gâteuse, et le chemin n’a pas toujours été facile, d’ailleurs son personnage me touche énormément. Par contre, j’ai un peu de mal à trouver et à comprendre où l’auteur a voulu aller avec une phrase que la mère de Tohru va dire à Kyô :

Et vous ?

Il va falloir que vous égariez sur combien de chemins et combien de temps pour que vous trouviez les réponses à vos questions ?

Je pense que j’ai dû louper un dialogue à un moment. La mère de Tohru ressemble beaucoup à l’une de ses amies. Ce qui me fait assez rire. Nous revenons le temps de quelques chapitres vers nos amis avec un affrontement assez violent entre Akito et Yuki, Akito ne supporte pas que Yuki s’éloigne de lui… Les choses commencent à changer, petit à petit certaines choses se mettent en place, ce n’est pas forcément toujours perceptible, mais cela me fait sourire.

En conclusion, j’adore cette énorme parenthèse, nous tournons un peu en rond avec nos maudits, mais ce tome permet de nous évader et d’en savoir plus sur la mère de Tohru. Un personnage pour lequel j’ai très rapidement accroché et surtout adopté. J’ai hâte de lire la suite et de voir la répercussion d’un objet secrètement glissé à l’un des douze, mais aussi de l’altercation d’Akito et de Yuki.

5/5